À partir du moment où vous avez un site internet, le référencement naturel est LE levier d’acquisition a ne surtout pas négliger dans votre stratégie de marketing digital. En effet, c’est un processus d’optimisation des sites web pour les moteurs de recherche.
Vous souhaitez mettre en place une bonne stratégie SEO pour acquérir de nouveaux clients ? Ni une, ni deux, c’est parti, on vous embarque à la conquête du référencement naturel.
Le SEO (Search Engine Optimization) aussi appelé référencement naturel, est l’ensemble des techniques qui ont pour but d’indexer son site internet sur les moteurs de recherche, puis dans un second temps, d’être bien positionné sur ceux-ci.
Pour faire simple, il y a 3 points importants :
L’objectif principal du référencement naturel est d’arriver en première page des moteurs de recherche, c’est aussi simple que ça.
Si une de vos pages (que ce soit un produit, un article de blog ou une page catégorie) est accessible dès la première page Google, vous aurez beaucoup plus de visite sur votre site, vous serez considéré comme expert dans ce domaine. Parce que soyons honnêtes, qui va au-delà de la première page lors de ces recherches ? Très peu de monde, voir quasiment personne !
Si nous n’avions qu’une chose à retenir pour réussir à être en première page, c’est ceci : content is king. Et oui, le contenu est roi, c’est aussi simple que ça.
Pourquoi ?
Premièrement, car grâce à lui, vous allez pouvoir être bien positionné sur les moteurs de recherche, et donc vous aurez des visiteurs, ce qui, grâce à une bonne stratégie de contenu et un bon site internet, vous permettra d’avoir de nouveaux clients (en vrai ce n’est pas aussi simple que ça, mais on vous l’explique plus bas).
Mais pas que !
C’est aussi votre carte de visite, ce qui va montrer le sérieux de votre entreprise, vous allez pouvoir décrire tout ce que vous proposez, vos atouts, vos avis clients (pour rassurer les internautes), etc.
Par ailleurs, ce contenu que vous allez produire pour remplir vos pages vous appartient, vous pouvez donc l’utiliser de plusieurs manières :
L’enjeu du SEO est donc de référencer votre site, mais il peut également avoir de multiples intérêts.
Comme vous allez le voir, le référencement naturel présente de nombreux avantages, mais il faut prendre en compte certains points, et ne pas les négliger ou les oublier !
Je ne suis pas sûr que le terme “inconvénient” soit le mieux pour cette partie, appelons plutôt cela “points à ne pas oublier”.
Pour commencer, nous allons voir qu’est-ce qu’un moteur de recherche. Pour faire simple, c’est un ensemble de logiciels / robots qui parcourent le web, dans le but d’indexer les pages qu’ils visitent, en les traitant et les analysant, pour au final transmettre les informations aux internautes !
Afin qu’un moteur de recherche fonctionne correctement, il faut d’abord plusieurs étapes.
Etape 1 : La phase de crawl
Une ribambelle de robots explore le web, en naviguant de liens en liens, afin de récupérer toutes les informations.
Etape 2 : L’indexation
Une fois que les robots ont récupéré toutes les informations, celles-ci sont indexées par ce qu’on appelle des “moteurs d'indexation”. En gros, il y a comme une base de données des mots qui est régulièrement mise à jour.
Etape 3 : La restitution
Ensuite, une interface de recherche restitue les résultats aux internautes, et tout ça, en les classant par pertinence (c’est le ranking).
Vous l’aurez bien compris : il est important d’être bien positionné sur les moteurs de recherche. Si je peux me le permettre, c’est même primordial. J’aime dire qu’à partir du moment où l’on est dans le top 3 dans la SERP sur une requête, on est un peu considéré comme le messie sur celui-ci, comme si être bien positionné nous donne aux yeux des internautes un super savoir indétrônable.
Un peu d’histoire ! Saviez-vous que Google a été créé en 1998 par 2 étudiants ? Et oui ! C’est Larry Page et Sergey Brin de l’université de Stanford, qui ont créé le moteur de recherche Google, qui au début s'appelait Backrub (moins sympa que Google non ?).
L’objectif ? Tout simplement de classer les sites en fonction de leur pertinence mais aussi de leur accessibilité. Pour que toute personne puisse accéder facilement à l’information recherchée. Génial n’est-ce pas ?
Mais pourquoi faire un zoom sur Google ?
La raison est simple, la plupart des recherches (voir quasi toutes), sont faites sur ce moteur de recherche. Pour être plus précis, en 2020, il y avait 92,15% des recherches des internautes en France qui sont faites dessus. Impressionnant non ?
De ce fait, il est plus qu’important d’avoir un site qui répond aux exigences de Google.
Mais la grande question que vous devez vous poser c’est "Quelles sont ces fameuses exigences ?”. Mystère et boule de gomme, on n’en sait rien. Enfin, pas vraiment. Pour être plus précis, on n’a pas de liste de critères à respecter, disons qu’on connaît les grandes lignes, et qu’ensuite il faut surtout tester.
Ce n’est pas comme une recette à suivre à la lettre, avec la liste des ingrédients et les étapes à suivre (ça serait trop simple sinon !).
De plus, 1 à 2 fois par an, il y a des Core Update, c’est-à-dire que Google fait une mise à jour majeure de son algorithme, ses exigences évoluent donc constamment.
Même si, n’oublions pas, le nerf de la guerre reste le contenu.
On pourrait se poser la question de “Pourquoi Google est-il aussi exigeant ?”. La réponse est plutôt simple. Google se doit de proposer du contenu pertinent et de qualité aux internautes. Sinon il perdrait toute crédibilité, et donc il n’y aurait personne qui utiliserait ce moteur de recherche, ce qui fait qu’il ne pourrait plus vendre de l’Ads, dont plus d’argent pour lui ! (Mais ce n’est que mon avis ;)).
Pour vous tenir informé des potentielles évolutions ou mises à jour, je vous conseille de suivre ces deux comptes sur Twitter :
Comme nous le disions également un peu plus haut, il y a donc 3 facteurs primordiaux pour optimiser votre site internet :
Première étape et pas des moindres : la technique. Avant de mettre en place une stratégie de contenu, il faut avoir un site internet performant et qui répond aux normes Google.
Certains vous diront que la vitesse de chargement d’un site n’influe pas sur le référencement naturel. Mon point de vue est différent, voir à l'opposé.
Sachant que l’expérience utilisateur est un des éléments pris en compte dans le référencement, il semblerait aberrant que du coup, la vitesse ne soit pas prise en compte non ?
Je m’explique, si un site est trop long à charger, que vous n’allez pas rester dessus n’est-ce pas ? C’est donc aussi simple que ça, sur internet, on est à un clic de nos concurrents, il faut donc un site qui s’adapte aux attitudes des utilisateurs : qu’il soit rapide. À long terme, rare sont les critères qui ont autant d’impact sur votre référencement et votre conversion.
Pour vous aider à voir ce que vous pouvez mettre en place comme modifications pour améliorer le temps de chargement de votre site, voici deux outils qui analysent vos pages et vous suggèrent des pistes d’optimisation :
HTTPS signifie HyperText Transfer Protocol Secure. Pour l’expliquer simplement, le HTTPS est un protocole de communication, comme le HTTP, sauf que celui-ci est crypté.
C’est donc la version sécurisée du HTTP (le S à la fin veut site “Secure). Mais sécurisé, c’est-à-dire ? Cela équivaut à chiffrer les échanges enntre un site et un serveur.
Vous l’aurez compris, le protocole HTTPS permet de sécuriser :
Certains diront que cette partie devrait aller dans la partie contenu / sémantique, mais en soi, on s’en fiche, le principal c’est que ce soit fait, et surtout, que ce soit bien fait.
Par structure, nous entendons plusieurs choses :
Son objectif principal est d’inciter l’internaute à visiter votre site internet. La title doit contenir le mot-clé de votre article, ne doit pas faire plus de 65 caractères (espaces compris).
Il faut garder à l'esprit que cette balise est en quelque sorte un très court résumé du sujet de votre page. Soyez donc pertinent ! Votre expression clé (et donc le TITLE) doit réellement refléter le contenu de la page.
Petits tips : il faut varier les titles, il ne doit pas y en avoir 2 identiques sur votre site & il faut éviter les répétitions de mots.
Prenons un exemple :
Pour un article de blog qui souhaite être positionné sur le mot-clé “marketing automation”.
Exemple de mauvaise title : Marketing automation : découvrez notre guide et 6 exemples de scénario de marketing automation.
Exemple de super title : Le marketing automation : guide et 6 exemples de scénario
Pourquoi le premier exemple est-il mauvais ? Parce que celui-ci est trop long et qu’il y a une répétition !
Si on prend le même exemple qu’au-dessus :
Exemple de super méta description : Le marketing automation est un incontournable du marketing digital aujourd’hui. Découvrez nos 6 exemples de marketing automation !
Dans cet exemple, vous retrouvez le mot-clé, de l’incitation à l’action, un avantage (les exemples) et on sait précisément ce qu’on va trouver.
Pour faire simple, les métadonnées c’est tout ce qu’on ne voit pas. C’est-à-dire :
Tout cela dans le but d’avoir un code source propre, et que Google trouve toutes les bonnes informations nécessaires facilement et rapidement.
On rentre un peu plus dans le détail ?
Les données structurées sont des informations qui se trouvent dans le code de votre site web. Elles permettent aux robots des différents moteurs de recherche, de comprendre le contenu de votre site web. Ces données facilitent donc l’exploration de vos pages par ces fameux robots. Sans ce schéma de balisage, les moteurs de recherche auraient du mal à référencer correctement vos pages !
Pour en savoir plus, Google a écrit un article assez intéressant pour comprendre le fonctionnement des données structurées : Voir l’article
Et si vous souhaitez tester vos données, c’est par ici !
Avant de commencer par la définition d’une URL canonique, on va démarrer par la définition d’une URL. C’est tout simplement une adresse web, comme par exemple : https://www.mon-site.fr.
Quant à une URL canonique (ou alors balise canonique, URL canonical, meta canonical et rel canonical), son but est de prévenir toute duplication de contenu, au sein d’un même site.
C’est l’adresse d’une page qui signale aux moteurs de recherche qu'elle est définie comme étant l’originale. Ainsi, ils n’indexeront pas d’autres pages qui ont repris le contenu de la page “officielle”.
Par exemple, vous avez une page https://www.mon-site.fr/url1, dans laquelle vous parlez du référencement naturel, et que vous souhaitez bien positionner et sur une autre page, par exemple https://www.mon-site.fr/url2, vous parlez du même sujet.
Sauf que dans l’autre page, vous avez mis du contenu identique à la première, il se pose alors le souci de contenu dupliqué (qui pour rappel est une pratique pénalisée par le grand manitou Google) et de cannibalisation entre les deux pages. De ce fait, sur l’url 2, vous devez mettre en balise canonique l’url 1.
URL de la page : https://www.mon-site.fr/url2
Balise canonique de cette page : https://www.mon-site.fr/url1
Outre le fait de mettre une URL canonique différente lorsque c’est nécessaire, saviez-vous que sur toutes les pages d’un site, il faut une URL canonique ? Cela permet de prévenir du duplicate content.
Malgré le fait que son nom soit compliqué à lire, la compréhension de celle-ci est plutôt simple, voire extrêmement simple.
C’est tout simplement le fait d’indiquer à Google la langue de votre site, et de positionner celui-ci dans la bonne langue. Effectivement, un site allemand n’a rien à faire sur un moteur de recherche francophone non ?
Cette balise est également très utile lorsque vous avez un site multilingue. Utiliser la balise hreflang, fait en sorte que les résultats de recherche dirigent vers la bonne version linguistique d'une page !
Vous avez trois endroits différents pour implémenter la balise hreflang :
Le breadcrumb correspond au fil d’ariane d’un site.
Un fil d'Ariane sert à indiquer la position d’une page dans la hiérarchie d’un site, aussi bien pour les internautes que pour Google.
C’est donc un élément important qu’il faut ajouter dans les données structurées d’un site.
Pour le faire, vous pouvez suivre les consignes ici, ou alors faire appel à une agence web.
Le saviez-vous ?
Depuis Janvier 2021, le balisage du fil d’ariane sur data-vocabularu.org n’est plus valide, il faut le remplacer par le balisage schema.org.
On entend de plus en plus parler d’UX (User eXperience) pour un site internet, et plus particulièrement pour le SEO. Ce qu’on appelle désormais le SXO (le mariage entre les deux parties).
Pourquoi ? Parce que Google cherche sans cesse à améliorer la pertinence des résultats de recherche dans sa SERP, c’est notamment pour cela qu’il y a les Core Update (mise à jour de son algorithme), mais pas que ! Il veut aussi améliorer l’expérience de recherche des internautes.
Alors, il y a certains points à prendre en compte (liste non exhaustive) :
Tout site internet se doit d’avoir un robots.txt ainsi qu’un sitemap.
Le robots.txt est un fichier qui donne des consignes aux robots de crawl des moteurs de recherche, sur ce qu’ils peuvent ou non explorer et donc indexer lors de leur passage sur un site.
Le sitemap, c’est un fichier où l’on retrouve toutes les pages d’un site web que l’on veut indexer, et cela permet aussi de les relier entre elles.
On a de la chance, aujourd’hui avec la plupart des CMS, permettent de le générer. Soit automatiquement, comme avec Webflow, ou alors avec des plug-ins, comme sur Wordpress.
Vous ne savez pas comment créer votre sitemap ? Google lui-même vous dit tout ici.
Une fois que c’est fait, n’oubliez pas de le déclarer dans la Google Search Console.
On l’a dit au début de cet article, le contenu est roi. C’est le point le plus important, ce qui va vous permettre, du moins énormément, de vous aider à bien référencer vos pages.
Alors c’est parti, on ne perd plus 1 minute, et on vous explique ce qu’il faut savoir.
Saviez-vous que lorsque l’on parle de contenu, on ne se limite pas simplement au texte ? Et oui ! Le terme contenu est bien plus vaste que ça, et tant mieux !
Qui a envie de lire un article avec simplement un énorme paragraphe ? Barbant non ?
Voici différents types de contenu :
Afin de mettre en place une stratégie de contenu efficace, il faut penser au bon contenu. À savoir, celui va vous amener du trafic, mais qui correspond au parcours d’achat de votre cible !
Voici donc les étapes que nous vous conseillons de suivre :
Vous souhaitez en savoir plus ? Petit chanceux, on a déjà écrit un article sur la stratégie de contenu.
Le moment le plus fun (#humour) !
Cette partie peut faire peur, mais pas de soucis, on a rédigé un article spécifiquement dessus pour vous aider.
Retenez que rédiger un contenu optimisé pour le référencement naturel est à la portée de toute personne, à partir du moment où on applique les règles. Mais si vous écrivez comme à un copain de vacances, ne vous étonnez pas si votre article / page ne se positionne pas.
Beaucoup l’ont tenté, peu l’ont réussi et beaucoup n’ont rien compris.
Un cocon sémantique, c’est la façon d’organiser les pages d’un site web, en créant des liens entre elles (le maillage interne). Ce concept a été inventé par un français 😎 (Laurent Bourrelly), la classe n’est-ce pas ?
Pour comprendre ce qu’est un cocon sémantique, il faut garder en tête qu’un site internet est conçu sur la base de silos. Un silo c’est une branche d’arborescence, qui part d’une thématique, et qui descend vers des sujets de plus en plus précis, c’est ce qu’on appelle le siloing.
Il faut se baser sur la demande de l’internaute, son intention de recherche, lorsqu’il arrive sur votre site, et non sur la base de l’offre que vous proposez. Il faut toujours vous demander “Quelles sont les requêtes qui répondent aux besoins de mes buyers persona ?”, c’est ça qui va vous aider à créer votre architecture.
On vous a expliqué les bonnes pratiques sémantiques, ce qu’il faut mettre en place et pourquoi, mais il est également important, de faire un petit point sur toutes les mauvaises pratiques qui vont nuire au référencement Google.
Le contenu dupliqué (ou duplicate content) est lorsqu’un texte apparaît plusieurs fois sur internet. Que ce soit sur un même site, ou sur des sites différents.
Le duplicate content est une pratique non recommandée par Google et peut entraîner une pénalisation.
Les problèmes de duplication de contenu peuvent provenir de 3 principales sources :
Cette pratique était énormément utilisée il y a de nombreuses années, mais celle-ci n’est plus du tout recommandée. Aux yeux des moteurs de recherche, c’est un signe de manipulation de leurs algorithmes (Keyword Stuffing), alors attention !
C’est également néfaste pour les internautes, qui n’ont pas forcément envie de lire un contenu redondant. N’oubliez pas, l’expérience utilisateur est importante et prise en compte par Google, cela vaut aussi pour les contenus. Il faut qu’ils soient intéressants, pertinents et faciles à lire.
Notre astuce ? Une fois que vous avez défini votre mot-clé cible, au lieu de le mettre un peu partout dans vos textes et titre, utilisez plutôt son champ sémantique !
Non, rien à voir avec Hannibal Lecter, la cannibalisation en SEO c’est lorsque deux pages (ou plus), traitent du même sujet et souhaitent se positionner toutes les deux sur le même mot-clé : elles se mangent mutuellement. Ce qui signifie qu’elles vont avoir du mal à bien se référencer et atteindre la première page Google.
Comment le contrer ? Avec une bonne stratégie de contenu et un cocon sémantique. Avec ces deux points, vous aurez une vue d’ensemble, ce qui vous permettra de ne pas écrire 2 articles similaires.
Et si vous avez déjà ce souci ? Vous avez la possibilité de regrouper les 2 articles en 1 par exemple, puis de faire une redirection 301.
Ou autrement dit, le cloaking. C’est lorsque l’on présente à ses internautes des URLs (et donc du contenu), différents de ceux à destination des moteurs de recherche.
Attention : cette pratique est interdite pas Google.
Avant de commencer cette partie, je tiens à commencer par un disclamer ⚠️ :
Non le netlinking ne fait pas tout ! Chez Sales Odyssey, nous ne pensons pas qu’avec seulement des bons liens, vous allez révolutionner votre positionnement.
Certes cela aide, mais avant tout, il faut un site avec une bonne architecture, une stratégie de contenu, et un bon maillage interne.
Pourquoi ? Tout simplement parce que le SEO a de l’intérêt que s’il vous apporte des clients, et qu’un lien entrant n’a pas de valeur pour vos lecteurs.
N’oubliez pas : Le cœur du référencement naturel est le contenu, produire un contenu exceptionnel sur votre site, pour proposer une expérience exceptionnelle à vos internautes. Le netlinking c’est la cerise sur le gâteau ;).
Maintenant passons aux explications !
Le netlinking (ou les backlinks), c’est tout simplement l’obtention d’un lien d’un site internet vers un autre site internet.
L'autorité d'un domaine équivaut à la confiance que Google accorde à un site web. C’est défini comme un score que les moteurs de recherche attribuent à un site internet.
Ce terme a été inventé dans l’entreprise MOZ. Le score s’étend de 0 à 100, et l’objectif étant d’avoir la note la plus élevée possible. Pour vous aiguiller, une bonne note est entre 40 et 60.
Voici quelques éléments qui peuvent contribuer à l’autorité d’un domaine :
Il ne faut pas oublier que l’autorité d’un domaine n’est qu’un indicateur, et que cela ne fait pas tout pour votre référencement naturel, loin de là.
En référencement naturel, on parle de domaine référent chaque nom de domaine qui envoit des liens externes en direction d’un site donné.
Par exemple, un site peut très bien avoir 500 backlinks de 300 sites internets différents, mais seulement 200 noms de domaines référents différents.
Ce qu’il faut retenir c’est qu’en référencement naturel, le nombre de domaine référent est plus important que le nombre de backlinks total.
Le netlinking sert à valider votre expertise auprès de Google. Si des liens qui proviennent d’autres sites dans la même thématique que la vôtre pointent vers votre site, Google va considérer que vous êtes effectivement un expert dans ce domaine.
Le netlinking est utile au référencement naturel pour plusieurs raisons :
Il existe différents types de backlinks pour votre stratégie de netlinking.
Pour être plus précis, il y a deux types de liens :
Nofollow signifie ce sont des liens qui ne sont pas suivis par les robots de moteurs de recherche.
Un lien en dofollow aura donc plus de puissance qu’un lien en nofollow.
Pour faire un bon lien, il y a 5 critères à prendre en compte :
1- La qualité du site partenaire
Il est important qu’un backlink provienne d’un site qui est dans le même secteur d’activité que vous, qu’il ait une bonne autorité et que ce soit un site avec des visites.
2- La pertinence du contenu du site partenaire
Le contenu du site qui fait un backlink vers votre site, doit être cohérent avec le contenu de votre site.
Par exemple, un site qui parle de cuisine ne va pas faire un backlinks en direction d’un site d’automobile.
3- La position du lien dans le contenu
Un lien doit paraître naturel, il faut donc qu’il se situe au cœur du texte de la page, et non dans le header ou le footer.
4- Le texte d’ancrage du lien
Pour rappel, le texte d’ancrage est le texte visible qui est utilisé pour positionner un lien.
L’ancre d’un backlink doit donc être en cohérence avec le contenu du lien.
Warning : Il faut une variété de texte d’ancrage et pas les mêmes à chaque fois (vous pouvez utiliser des synonymes, le nom de marque etc).
5- L’attribut dofollow et nofollow
Comme vous l’aurez compris plus haut, un lien en dofollow à plus de poids qu’un lien en nofollow. Mais cela ne signifie pas que les liens avec des attributs nofollow n’ont aucune importance.
Depuis 2019, Google prend également en compte les liens en nofollow en direction de votre site.
Pour vérifier la qualité d’un lien, il existe de nombreux outils et indicateurs :
Avez-vous déjà entendu parler de Google Penguin ? Google Pingouin est un filtre anti spam de l’algorithme Google, qui consiste à traquer les opérations de netlinking jugées “frauduleuses / agressives”.
Par technique frauduleuse ou agressive, on entend :
Ce que vous risquez ?
La pénalité ne va pas s’appliquer à l’ensemble du site, mais à la page en question, sur laquelle vous avez fait cette pratique.
Vous n’allez pas perdre l’indexation de cette ou ces pages, mais vous allez perdre en visibilité.
Privilégiez la qualité à la quantité. Il vaut mieux avoir moins de liens mais des bons liens en direction de votre site, que beaucoup de mauvais liens, et de liens moyens.
Les 4C qui signifient contenu, code, conception et célébrité, est une notion décrite pas Olivier Andrieu. C’est un moyen simple de se rappeler des règles pour un bon référencement naturel.
Qu’est-ce que le référencement naturel ou SEO ?
Le référencement naturel, ou SEO, c'est toutes les bonnes pratiques et techniques qui vont augmenter vos chances d'apparaître en première page sur les moteurs de recherche.
Pourquoi devrais-je travailler mon SEO ?
On pourrait débattre des heures sur l'intérêt pour une entreprise de travailler son référencement naturel. Mais on va faire simple. Quand vous avez un problème, quelle est la première chose que vous faites ? Vous allez sur Google. Donc être en première page sur les mots-clés proches des problèmes que vous résolvez pour vos clients ça semble être une bonne idée non ? En deux mots : chiffre d'affaires.
Comment obtenir un bon référencement naturel ?
Pour obtenir un bon référencement naturel, il y a 3 points clés à prendre en compte :